Aujourd’hui, label et certification riment avec écologie. Avec une première réglementation thermique datant de 1974, la consommation énergétique a toujours été un sujet majeur pour l’immobilier. C’est d’autant plus vrai à notre époque.
Avec la RT 2012 et bientôt la RT 2020, ces réglementations proposent un double objectif :
Les biens qui ont été construits à partir de 2013 ont tous la norme RT 2012, ce qui signifie en d’autres termes qu’ils affichent une performance énergétique de classe A ou B. À titre de comparaison, les logements anciens sont plutôt classés entre D et E.
Il y a aussi des labels de performances énergétiques comme :
le label HPE (haute performance énergétique), pour un bâtiment qui présente une consommation d’énergie au moins inférieure de 10 % à la consommation de référence ;
le label THPE (très haute performance énergétique) : ici, la consommation doit être inférieure de 20 % ;
le label BBC (bâtiment basse consommation), pour un grand confort grâce à des performances énergétiques élevées ;
le label HQE (haute qualité environnementale), soit 14 critères précis qui doivent être respectés par le bâtiment ;
le label THQE (très haute qualité environnementale) avec une consommation énergétique ne dépassant pas 50 kWh par an et par mètre carré.
Pour respecter cela, les constructeurs doivent choisir avec attention les matériaux et les équipements qu’ils intègrent aux constructions neuves. Isolation, système de ventilation, système de chauffage, vitreries… tout doit être passé au crible pour obtenir le meilleur du bâtiment.